Au départ, il faut l’admettre: la réalisation de la séance de mise en accusation du président de la République, le mercredi 7 août 2019, avait du plomb dans l’aile. La preuve, pour une séance prévue à 10 heures du matin, il a fallu attendre qu'il soit 1 heure 40 minutes pour apercevoir une lueur d’espoir lorsque le vice-président de la Chambre Caleb Desramaux, à la tête d’un bureau édenté, a fait son entrée dans la salle de séance, au son de la cloche de l’huissier de séance. Avec lui, les députées Guerda B. Alexandre et Marie Gladice Sai
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