Bastonner, faire disparaïtre des citoyens, persécuter des militants politiques, tuer, voilà les seules armes qu’il reste au PHTK et au pouvoir de Jovenel Moïse pour se maintenir. On ne sait s’ils appliquent la logique totalitaire affirmant que le pouvoir finit toujours par produire du consentement par la violence, ou s’ils le font spontanément, par structure caractérielle, par bestialisme inné.
Peu importe. La réalité est celle-ci : il n’y a pas de réconciliation possible entre la majorité des citoyens haïtiens et PHTK
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