Le président Jovenel Moïse a promis de mettre « de l’argent dans les poches et de la nourriture dans les assiettes ». Plus de deux ans après, l’urgence alimentaire s’est aggravée, la famine est à nos portes. Loin des radars des chefs et autres gloutons qui se livrent parfois un combat au couteau pour obtenir des avantages ou consolider des chasses gardées, le nombre d’enfants faméliques augmente, des gestantes mal nourris appréhendent l’avenir avec angoisse.
Sans être agrégé d’économie, monsieur Tout-le-monde comprend aisém
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