Ces derniers mois à Port-au-Prince et maintenant dans certaines villes de province, l’insécurité n’est pas seulement l’individu armé qui blesse et qui tue pour de l’argent. C’est aussi un groupe armé qui écrit à une ambassade, à une ONG, ou à un ministère pour exiger de l’argent sous peine d’empêcher l’exécution d’un projet. Le Nouvelliste a appris qu’un groupe de bandits armés ont en effet envoyé une correspondance au ministère de l’Agriculture pour exiger une enveloppe de 20 millions de gourdes afin de ne pas bloquer la réalis
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