Le président Jovenel Moïse est en retard à la cérémonie d’installation du comité de facilitation du dialogue national. Personne n’est surpris. Il est dans ses cordes, fidèle à sa légende. Pour tuer le temps, au cœur d’une salle où des chaises blanches restées vides captent l’attention, des diplomates discutent. L’air décontracté, un ministre, celui de la Justice, mis à mal dans l’opinion à cause de la libération des étrangers armés, déambule, multiplie des poignées de main. L’ex-président Prosper Avril et l’ancien Premier ministre Evans P
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