La seule phrase prononcée par les hommes lourdement armés arrêtés dimanche a été celle-ci : « Notre boss appellera votre boss. » Ensuite, comme les militaires bien formés qu’ils sont, ils se sont tus. Muets comme des tombes, alors qu’on leur reprochait d’être venus apporter la mort.
Entre leur présentation, dimanche soir, au commissariat de Port-au-Prince et leur départ, mercredi après-midi, sur un vol régulier depuis l’aéroport international Toussaint Louverture en direction de Miami, il s’est écoulé peu de jours
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