Le carnaval national n’a jamais été une activité génératrice de revenus pour les finances publiques. Cette année encore, vu la dégradation des conditions socioéconomiques, si des décisions ne sont pas prises pour rentabiliser le carnaval, c'est l’État qui en fera les frais. « Les 190 millions de gourdes prévues pour les festivités carnavalesques auront des incidences directes sur le deuxième trimestre de l’e
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous