Le président Jovenel Moïse n’avait pas totalement laissé son Premier ministre s’occuper du dialogue avec l’aile dure de l’opposition. Il avait, lui aussi, fait quelques coups de fils en vue d’inciter des membres de l’opposition politique hostile à son pouvoir à prendre le chemin du dialogue.
« Au début du mois de janvier, le président m’avait appelé au téléphone », a confirmé Me André Michel, porte-parole du secteur dit démocratique et populaire. « Nous avons discuté de la conjoncture…du dialogue entre au
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