Si le directeur du BMPAD, Ignace St-Fleur, n’a « aucune crainte » quant aux risques de rupture de stock à répétition de carburant au cours du mois de janvier comme l’appréhendent des opérateurs du secteur, il a cependant souligné avoir besoin de 40 millions de dollars des 80 millions que doivent les compagnies pétrolières pour « débloquer la situation ».
« Je n’ai aucune crainte de mon côté quant au risque de rupture de stock pendant le mois de janvier, car le Bureau et les compagnies auront, j’espère, le temps de parvenir à une entent