Le choix est large.
Les flammes détruisant le premier étage de Radio Kiskeya.
La photo de la salle d’accouchement d’une maternité publique, le sang à même le sol, un condensé de pénurie et de saleté, comme une promesse de mort avant même la naissance.
Des cadavres dans un quartier populaire. des hommes encagoulés qui tirent à hauteur d’homme.
La façade et l’enseigne d’une école publique dans une ville de province. C’est le nom d’un mensonge. Derrière, il n’y a rien.
Cette folle qui hurle tous les matins et to