Gérald Bloncourt, ou quand meurent les jeunes

Le 25 août, par l’intermédiaire de Virginie Turcotte de Mémoire d’encrier, il me faisait parvenir ce message : « Avant de partir pour l’au-delà, je voudrais parmi mes derniers messages te dire l’admiration que j’ai pour ton travail d’écrivain.

Par Antoine Lyonel Trouillot
Par Antoine Lyonel Trouillot
30 octobre 2018 | Lecture : 3 min

Le 25 août, par l’intermédiaire de Virginie Turcotte de Mémoire d’encrier, il me faisait parvenir ce message : « Avant de partir pour l’au-delà, je voudrais parmi mes derniers messages te dire l’admiration que j’ai pour ton travail d’écrivain. Pour tes émissions et tes rencontres avec les jeunes et les populations de ton quartier. J’ai été très honoré de te rencontrer en Haïti en 2016. Je t’embrasse. Merci pour le pays. Kenbé fèm!» Je lui avais répondu, et gardant ce message comme un trophée, que je comptais aller le voir ces jours-ci. Mais

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