En contrebas, à cinq minutes à pied de l’hôpital Zanmi Lasante, à Cange, la résidence des Thérosmé, plantée en flanc de montagne, offre une vue imprenable sur une partie de Boucan-Carré et de Lascahobas. Sans bruit, autre que celui du vent sur les avocatiers, la vie se vit entre les tâches quotidiennes et les conversations sur le charme du paysage bucolique. Cette fois, sur un sujet bien plus grave : la mort ! Sans hésiter, Tatiana Thérosmé, assise comme une demi-lune dans un vieux canapé gris cendre, affiche son courage. Elle, l’enfant mala
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous