Depuis quatre ans qu’elle est entamée, l’expropriation d’une partie du centre-ville de Port-au-Prince suscite beaucoup de mécontentements chez de nombreux propriétaires. Aujourd’hui encore, vous les voyez faire le ballet dans des couloirs de l’administration publique ou vous les rencontrez, abattus, dans la salle d’attente d’un notaire.
Il n’existe pas de chiffres officiels indiquant le nombre de maisons ayant été détruites au centre-ville en 2014 dans le processus d’expropriation ni la liste des propriétaires à indemniser. Il revient
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