D’un rythme régulier annuel de 5 à 6% jusqu’en février 2017, le taux de change a augmenté de plus de 10% à partir de mars 2017, a révélé l'économiste Pierre Marie-Boisson, qui, face à une telle situation, pointe du doigt le décret sur la dédollarisation pris par l’administration Lafontant-Moise en mars dernier. Selon l'écoinomiste, ces arrêtés sur la dédollarisation, loin d'apporter des solutions, n’ont fait que semer la confusion chez les agents économiques et provoquer une tendance plus élevée à la rétention.
Pierre-Marie Boi