Il y a ces « voice notes » « brodcastés » via Whatsapp et ces conversations à voix basse, vendredi matin, entre habitants de Martissant, de Cité-de-Dieu et d’autres quartiers de l’entrée sud de Port-au-Prince qui font froid dans le dos. La cadence des tirs est semblable à celle des zones de guerre, comme la Syrie. « Le concert d’armes automatiques a repris de plus belle », a confié une source au journal. Au fait, depuis des mois, la situation n’a fait que se dégrader au point que des gens, propriétaires de maison à Martissant et dans les
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