Le comité est aujourd’hui amputé de plusieurs. « Certains ont laissé le pays, a précisé le président du comité, le sociologue Ely Thélot. D’autres ne travaillent plus dans l’institution qu’ils représentaient au comité. » Ce n’est pas la seule cause du handicap du comité. Ely Thélot souligne que la structure qu’il dirige ne dispose pas de moyens pour accomplir sa mission. « Le comité n’a pas de local, fait-il remarquer. C’est un casse-tête pour l’organisation de nos réunions. »
Pourtant, d’après l’article 5 de la loi sur la lutt