Il y en a qui pleurent plus la perte de biens que la perte d’emplois. Il y en a qui persistent et signent et refusent de comprendre que nous sommes au bout de quelque chose, que les derniers événements sont un signe fort que quelque chose ici doit changer dans les rapports sociaux. Il y en a qui croient qu’il convient juste de rembourser les propriétaires qui ont perdu des biens pour retourner, tranquilles, au passé, à cette société de quasi apartheid, à cette société qui est celle qui produit le plus d’inégalités sociales dans la Caraïbe, e
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