« Si la Police nationale n’avait pas fait exactement ce qu’elle devait faire, la situation serait pire et aujourd’hui le pays serait en sang », a déclaré le directeur général de la Police nationale d’Haïti. Dans une interview accordée au Nouvelliste, mardi, quatre jours après le déclenchement des émeutes, Michel-Ange Gédéon estime qu’«avec un effectif réduit et des moyens logistiques qui font défaut, nous avons donné le meilleur de nous-même… » Il explique ce qui s’est passé à la capitale pendant les mouvements de protestations de ces dernie