L'affrontement verbal, le week-end écoulé, entre membres de gangs armés et l'étalage via WhatsApp de l'arsenal de Armel, nouveau caïd de Cité de Dieu, ont fait place nette, dimanche, à des rafales, à Cité Plus et dans d'autres quartiers des environs du Théâtre national, au boulevard Harry Truman, au sud de Port-au-Prince. Ces tirs nourris, sans affrontements directs, participent d’un équilibre de la terreur entre gangs rivaux voulant marquer leur territoire, sécuriser leurs intérêts consistant, entre autres, à racketter de paisibles citoyens
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous