Sur la place de l’église Ste-Rose où trône la statue de la reine Anacaona, une bonne vingtaine de majors-joncs, ce Jeudi saint, attirent les regards. Vêtus de leur tunique traditionnelle pailletée d’argent qui pend sur une jupe chamarrée de foulards rouges, verts, jaunes, noirs, bleus, mauves, ils excellent à tourner entre deux doigts leur instrument. L’association de couleurs sur cette place, tunique éclatant de pailletés, jupe aux tons vivaces et froids forment un véritable « tchaka » de teintes pour une palette de peintre. Ces foulards
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