« Je suis impressionné par le nombre d’écoliers à la FILAH, même s’ils n’achètent pas beaucoup, pour être honnête ; mais qu’ils soient là, qu’ils écoutent les causeries, qu’ils regardent les livres, c’est déjà une bonne chose », déclare Lyonel Trouillot.
Assis dans un grand fauteuil moelleux en face d’une table où fume un café noir, son éternelle cigarette entre les doigts, l’homme qui a formé plusieurs générations de jeunes écrivains, se dit touché par la présence des jeunes au Palais municipal de Delmas. « J’ai l’impression que la m