Le Nouvelliste (L.N.) : Vous venez de rééditer SHADA, chronique d’une extravagante escroquerie, professeure Myrtha Gilbert, en quoi cette histoire peut-elle éclairer notre présent de peuple ?
Myrtha Gilbert (M.G.) : Cette histoire, celle de la SHADA, (Société haïtiano-américaine de développement agricole) me paraît particulièrement édifiante dans sa démarche et dans ses actions pour comprendre le présent. Le prétexte du développement agricole (ou du développement tout court) grâce à l’argent et au savoir étranger. C’est plus
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