Je n’arrive pas à écrire sur la mort de Boulo Valcourt. La mort, il vient un moment où on a juste envie de lui dire d’arrêter. Égoïstement. Parce que si elle continue d’emporter ceux qu’on a connus, aimés, avec qui on a partagé des choses, on va finir par se retrouver seul, avec des rêves transformés en désillusions, des promesses non tenues, désormais intenables. Plus égoïstement encore, parce que vivre étant souvent notre dernière volonté, on se dit que bientôt ce sera notre tour, cela commence à devenir sérieux, on a intérêt à se préparer
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