D'encens et de souffre, ce poème du professeur Claude Clément Pierre est tiré de «Le coup de l’étrier chant III». Au festival Étonnants voyageurs, on demande au poète de lire un poème de son cru. Il décline tout simplement parce qu’il ne se souvient pas de ses textes. Carl Henri Pierre, un jeune journaliste du quotidien Le National qui affectionne la poésie du professeur, se propose de lire « D'encens et de souffre ». Le public assis sous la tonnelle de la FOKAL voit le journaliste débiter mélodieusement le poème. Il est applaudi. Claude se se
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