Le président Jovenel Moïse n’a pas sourcillé en annonçant, lors de son passage la semaine dernière à Miami, qu’il se « donne entre 18 et 24 mois pour qu’Haïti ait du courant électrique 24 sur 24 ». Au pays où la capacité installée n’atteint pas 300 mégawatts, accessibles à moins de 30 % d’une population de plus de 11 millions d’habitants, « Nèg Bannann nan » veut changer la « matrice énergétique ». Pour des raisons économiques, la priorité est à l’énergie solaire, l’éolienne, l’hydroélectricité, la biomasse et le gaz naturel comme combustible,
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