Parce que, depuis des semaines, des informations laissaient croire qu’il y avait des convulsions à l’Arcahaie, Mario Andrésol n’arrive pas à expliquer pourquoi la sécurité du chef de l’Etat n’avait pas pu éviter l’attaque contre le cortège de Jovenel Moïse. L’ancien directeur général de la Police nationale, qui participait lundi soir à l’émission « Sa k ap kwit » sur Télé 20, a estimé qu’il y a eu un défaut de communication entre les différentes unités de la PNH.
Il peut y avoir également intentionnellement de la rédemption d’information da