« C’est la meilleure affiche du festival de jazz. Voir Didier Lockwood sur scène, c’est formidable ! », s’exclame, excité, un spectateur à côté de moi dès le début du concert. Par crainte de la pluie, la scène a déménagé dans la grande salle du Karibe. Là, on est sûr de ne pas être à la merci des éléments comme à l’ouverture du festival il y a huit jours. Ce fut d’ailleurs une des grandes galères des organisateurs cette année encore. « On aurait aimé avoir des infrastructures culturelles appropriées qui nous permettent d’accueillir nos différ