La mise en place le 2 août 2016 par le ministre de l’Économie et des Finances, Yves Romain Bastien, d’une commission de restructuration et de contrôle à la Banque populaire haïtienne (BPH) ne laissait planer aucun doute sur la détérioration de la situation de cette institution financière. À mots feutrés, on parlait de faillite provoquée par la mauvaise gestion de cette banque, connue pour son incapacité à respecter les normes vis-à-vis de clients disposant de solides accointances politiques.
Le journal, entre-temps, a appris cette semaine