« Nous vivons comme des bêtes », tempête le maire de la commune, Tertius Joseph Ilercé, trônant dans une mairie aux trois-quarts vide, et qui ne mâche pas ses mots. « La situation nous dépasse », concède-t-il entre deux soupirs, amer et remonté contre le pouvoir central qui continue d’être aux abonnés absents plus de trois mois après le passage de l’ouragan Matthew qui a complètement détruit sa commune. « Malgré toutes nos démarches auprès des instances concernées, rien n’a été fait », se désole le maire, impuissant, admettant que ses attribut
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