« Pa monte non ! bandi yo ka pete bal sou nou wi. » Petit briefing d’un motard pour nous décrire la cruauté dont font montre les bandits qui terrorisent la population de Monoville, Jericho, Morne Ménard et d’autres quartiers qui jonchent le pied du morne L’Hôpital. Acceptant de nous y emmener avec le mot prudence sur ses lèvres, il ne veut pas traverser la limite. Visiblement, il n’y a pas d’enseigne qui dicte une délimitation à Monoville, mais les « bandits lourdement armés » qui opèrent dans ce quartier ont leur camp de base là-haut. À cinq m
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