Mobilisant contre lui empoisonneurs et biographes, cela faisait plus de cinquante ans que, par des moyens tantôt sophistiqués, tantôt ridicules, on essayait de tuer Fidel Castro. Cet homme avait quelque chose d’un mapou et refusait de se laisser abattre. Paradoxe de la propagande, Hollywood et le bas romantisme aidant, les assassins du Che sont même allés jusqu’à sanctifier leur victime pour mieux diaboliser Castro.
Maintenant que la chair est morte, l’offensive continue. Le corps n’est plus, mais demeure la légende. Car quoi que disent ou
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