Littérature

L’ombre animale, chasseur de prix

Déjà récompensé par quatre prix littéraires (Littérature-monde, Louis Guilloux, prix littéraire des Caraïbes de l'ADELF et prix Éthiophile 2016), L’ombre animale de Makenzy Orcel fait partie de la dernière sélection du Grand prix du roman métis – prix littéraire français qui s’attache depuis 2010 aux valeurs de la diversité, d’échanges et d'humanisme. À ce roman, hautement habité par Haïti, hébergeant la tradition et la fierté des habitants, l’auteur a consacré quatre ans.

Martine Fidèle
Par Martine Fidèle
21 oct. 2016 | Lecture : 3 min.
Le Nouvelliste (L.N.) : Il doit bien porter un nom, ce sentiment qui vous habite Makenzy ? L’ombre animale est retenu pour le Grand prix du roman métis. L’annonce de la nouvelle sur votre compte Facebook est ainsi légendée : On croise fort les doigts!!! Makenzy Orcel (M.O.) : Enfin, je suis content de tout ce qui arrive à ce livre, je ne m'y attendais pas. Je me suis contenté de l'écrire, passer du temps dessus (4 ans)... Il a été lu, apprécié. Tout ça ne peut que réjouir l'auteur. Alors oui, c'est réjouissant! L.N. : Quatre ans d’écritu

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