Je ne peux m’empêcher de songer au très beau roman de Ronald C. Paul Les enfants des cyclones, qui nous rappelle le pouvoir des pluies et des vents sur nos vies. Il n’y a pas que ce et ceux qu’ils nous enlèvent. Il y a que souvent ils forcent les plus démunis ou les plus frappés, ce sont souvent les mêmes, à tout recommencer, à aller ailleurs essayer de faire une vie prise entre la déveine et la débrouillardise. Un jour menacerons-nous quelqu’un de lui faire connaître Matthew comme on l’a dit de Georges ? Et un jour serons-nous mieux préparés
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