En lice pour accéder au palais national, Jean Henry Céant, comme certains de ses concurrents, a son talon d’Achille. L’expropriation des propriétaires du centre-ville de Port-au-Prince, réalisée sous l’administration Martelly-Lamothe. S’il ne peut pas gommer cette partie de l’histoire, Jean Henry Céant exprime tout de même ses regrets. D’abord parce que, selon lui, le gouvernement ne devait pas détruire les maisons des gens avant de les avoir dédommagés. « Et c’est pourquoi j’avais remis le dossier. Je ne pouvais pas l’accepter », a-t-il fait r
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