Klass, une douce torture…

Avoir les orteilles en compote, les mollets endoloris, traîner des vêtements mouillés sur la piste de danse et l’envie d’avaler jusqu’à la dernière note, les étoiles du petit matin dans les yeux.

Roberson Alphonse
Par Roberson Alphonse
12 août 2016 | Lecture : 3 min.
Avoir les orteilles en compote, les mollets endoloris, traîner des vêtements mouillés sur la piste de danse et l’envie d’avaler jusqu’à la dernière note, les étoiles du petit matin dans les yeux. C’est ça l’effet Klass. La douce torture, la bande à Richie, Pipo, Pozo détient le secret. Au Kinam 2, à Pétion-Ville, leur intro ne laisse aucune place au doute. Klass puise dans son répertoire, ouvre son coffre-fort et sort « Lajan Sere ». L’amour pour une femme est richesse, accomplissement de soi, visa pour le bonheur. « Cheri ou se tout sa m ta ch

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