Femme, belle, instruite, aisée, membre de l’élite mulâtre, Marie Vieux-Chauvet (1916-1973) demeure l'une des rares femmes de sa génération à être un esprit libre, une intellectuelle et une romancière consciente des problèmes sociaux au point de les dénoncer dans son oeuvre avec force et talent pendant toute sa vie d’écrivaine.
Entre 1940 et sa mort en 1973, de «Ti moun nan fon bois », une nouvelle, en passant par « La Légende des fleurs » (une pièce de théâtre publiée sous le pseudonyme de Colibri), Marie Chauvet « publie plusieurs romans, tou
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