Ce lundi 18 avril, l’évidence dont personne ne parle est la non-tenue d’élections le 24 avril. Cela va de soi, semble-t-il.
Personne ne croyait au soir du 7 février, le jour du départ de Michel Martelly, que des élections allaient se tenir aussi vite en Haïti. Le 14 février, jour de l’élection par le Parlement de Jocelerme Privert, personne ne parlait de cette éventualité non plus.
Même après les diverses manifestations du PHTK, même après la sortie remarquée du secrétaire d’État américain John Kerry, même après la tentative de bloquer l
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