C’est un état permanent des sens de départ. Pour ce qui s’avère être le « testament le plus achevé des hommes et des femmes », la littérature, au regard de la directrice de la Bibliothèque nationale d’Haïti, traduit ce que nous sommes, ce que nous avons envie d’être. Prise dans tous les genres (roman, poésie, chanson), la nôtre, quant à elle, « rend bien compte de l’état d’esprit qui prévaut en Haïti, et cela depuis toujours. Il y a une envie de partir. Soit pour retourner sur les terres desquelles on a été arraché au début, soit quitter sa pro
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