On me reprochera d’avoir écrit cette page en français, dans un désaccord apparent avec le plaidoyer qui la fonde. Mais le désaccord ne sera qu’apparent, car le point que je veux mettre en évidence ne concerne pas toutes les prises de parole. Et ma position sur la politique linguistique à mener ne connaît ni langue salvatrice ni langue coupable : donnons au créole tout le respect qui lui est dû et démocratisons l’usage du français afin que ce pays cesse de produire de l’inégalité dans le domaine linguistique (comme s’il n’y en avait pas suffisam
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