Le président Michel Martelly dit bien haut ce jeudi ce que son ministre de Communication, Mario Dupuy, a dit tout bas en début de semaine. Il ne laissera pas le pouvoir le 7 février prochain à ses opposants qui ne veulent pas d’élections. « C’est un élu qui doit remplacer un élu », argumentent ceux qui restent fidèles à Martelly. Un argument qui ne tient pas la route. 10 sénateurs, dont le mandat arrivait à terme début 2015, ont été renvoyés sans être remplacés par de nouveaux élus. Les maires issus des élections de 2006 ont été substitués par
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