«J'aurais préféré que ce soit les acteurs haïtiens, c'est-à-dire le président de la République, le Parlement, les responsables des partis politiques regroupés au sein du G-8 ainsi que ceux qui sont engagés dans la course, qui s'assoient autour d'une table afin de trouver le plus petit dénominateur commun», a déclaré Réginald Boulos, qui croit que la date du 7 février devrait interpeller tous les Haïtiens et principalement les élites politiques et sociales.
Réginald Boulos n'est pas pour autant dupe. «Il y aura des opinions divergentes», re
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