Haïti plus fraternel avec le jazz

La musique n’est pas prisonnière de l’espace politique. La culture délimite sa géographie pour la 10e édition du PapJazz : Parc historique, Triomphe, Quisqueya, Fokal, Yanvalou, place Boyer, Karibe, Institut français, Presse Café, Quartier latin. Port-au-Prince swingue, jazze, même s’il a du blues dans l’âme.

Claude Bernard Sérant
Par Claude Bernard Sérant
27 janv. 2016 | Lecture : 3 min.
Claude Bernard Sérant On est loin de l’ambiance dangereuse de la rue. Loin des empoignades, des tessons de bouteille éparpillés sur le macadam, des décibels agressifs sur lesquels les représentants de l’autorité de l’État n’ont aucune prise. Pourtant, des ambulanciers sont là sur la cour de l’Université Quisqueya. Cette foule est grande pour une édition du PapJazz. Les amateurs de jazz sont assis ou debout et écoutent les musiciens qui investissent la scène Barbancourt, ce mardi. Le quartet Cor des Alpes de la Suisse, Pie Grande du Mexiq

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