Gonaïves/1er janvier 2005

Aristide peut-il renoncer à la violence?

« En 2005, Monsieur Jean-Bertrand Aristide, nous devons cesser d\'hypothéquer l\'avenir et devons tous nous mettre du bon côté, celui des intérêts supérieurs de notre pays pour le bonheur de notre peuple ».

Le Nouvelliste
Par Le Nouvelliste
04 janv. 2005 | Lecture : 6 min.
« En 2005, Monsieur Jean-Bertrand Aristide, nous devons cesser d\'hypothéquer l\'avenir et devons tous nous mettre du bon côté, celui des intérêts supérieurs de notre pays pour le bonheur de notre peuple ». C\'est en ces termes que le président provisoire de la République, Me Boniface Alexandre, s\'est adressé à son prédécesseur, Jean-Bertrand Aristide, le premier janvier 2005, à l\'occasion des festivités commémoratives du 201ème anniversaire de la proclamation de l\'indépendance. Le discours du premier janvier 2005 a été prononcé dans un c
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