C’est un culte bien spécial qui a coupé la circulation à la rue Sans-fil et mobilisé des centaines de fidèles et d’invités. En cette matinée, l’agitation règne. Tapis rouge, gerbes de fleurs, bouquets de ballons, selfies… Pour une fois, on se hâte de gagner une place dans ce temple de Dieu, vieux de 52 ans.
Pour avoir posé la première pierre de reconstruction en mars 2013, aux côtés de quelques autres membres de l’église, le pasteur Pierre Antoine Jean voit en cette cérémonie de dédicace une réalité bien concrète. « Ce n’est plus un rêve », j
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