Marie Barton-Dock n’y va pas par quatre chemins. Il faut une baisse du prix de l’énergie et la révision des contrats des fournisseurs privés d’électricité à l’ED’H. Pour le représentant résident de la Banque mondiale en Haïti, un processus compétitif peut permettre à l’Etat d’avoir une énergie à un coût beaucoup plus bas que celui facturé par les IPP. Entre l’énoncé et la matérialisation d’une recommandation dans la glaise du réel, Marie Barton-Dock sait qu’ici qu’il n’y a pas de « short cut », pas de place pour des douces illusions. « Il y a d
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