Elections législatives

L'affaire des mandats, Néhémy Joseph accuse le PNUD

La livraison des mandats aux partis politiques, le détail « négligé » qui a failli tout chambarder. 24 heures après le jour du vote, les partis politiques continuent de dénoncer le Conseil électoral provisoire qui n’a pas pu leur donner cette autorisation à temps. Alors que le président du CEP s’en est excusé et a fourni des explications, le conseiller Néhémy Joseph accuse le PNUD, qui gère le fonds pour les opérations électorales.

Robenson Geffrard
Par Robenson Geffrard
10 août 2015 | Lecture : 4 min.
Sur les 800 000 mandats nécessaires au premier tour des élections législatives, le Conseil électoral provisoire en a fabriqué 500 000, selon des chiffres fournis par le président de l’institution. Les 300 000 mandats manquants ont été à la base de bien de troubles un peu partout à travers le pays le dimanche 9 août, le jour du vote. Pour Pierre-Louis Opont, qui s’en est excusé, il s’agissait d’un problème d’encre et la fuite du chef de service Joseph Hébert Lucien avec les matériels du CEP. Cependant, pour le conseiller électoral Néhémy Joseph,
CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.