Marie Denise peut se compter parmi une des victimes de cette intolérance politique qu’elle dénonce avec véhémence. « Je ne comprends pas qu’on puisse arrêter quelqu’un à cause de ses convictions politiques, encore moins l’assassiner», s’écrie celle qui, toute jeune, vit sa famille traquée, exilée, éparpillée aux quatre vents à cause de la dictature. Elle vit aussi son père assassiné de la manière la plus horrible. Elle connut également trois échecs subséquents aux dernières élections législatives, mais elle se cramponne à la politique et revend
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