Par Martine Fidèle
Le Nouvelliste (L.N.) : Réaliser un film, c’est toute une aventure. « Ayiti Toma. Au pays des vivants » qui part à la rencontre d’un peuple magique, ne serait-ce pas un chemin qui vous a permis de partir à la rencontre de ce fils d’Haïti plongé dans la culture québécoise ? N’est-ce pas là le déclic, la nécessité intérieure qui vous a poussé à porter ce projet de film jusqu’au bout ?
Joseph Hillel (J.H.): Chaque film se révèle un voyage pour moi. Si mon film donne l’impression d’être motivé par une quête identitaire, ce n’ét