« Toutouni », chantent les rappeurs de Barikad Crew dans la dernière méringue carnavalesque du groupe. Ils ne savaient pas qu’encore une fois, les mots d’une de leurs chansons allaient servir de linceul, un de leurs refrains de dernière prière.
Cette fois, ce n’est pas un membre du groupe qui décède de mort violente et accidentelle, mais des groupies du groupe de rap le plus populaire du pays qui succombent en plein carnaval, plaisir aux lèvres, les yeux grands ouverts, d’une mort horrible: étouffés, écrasés, démantibulés au carnaval.
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