Corps sans repères, fragments de textes basés sur l’esthétique du chaos, est la force-évocation de la multiple mémoire de certains morts-monde entre qui, ontologiquement, le silence s’interpose : ces morts par overdose, prématurés, ces morts maritimes, hospitaliers, ces morts par dictature, ces morts vifs et je n’en sais rien. Dans cet ouvrage inspiré des portraits sans visage de l’œuvre picturale du célèbre artiste martiniquais Ernest Breleur (à qui le texte est dédié), Frankétienne, en se faisant porteur d’une parole-monde de la mort d’autru
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